Donner un discours d’acceptation peut être une tâche intimidante lorsque vous êtes naturellement humble, surtout si vous avez travaillé si fort pour obtenir les éloges que vous n’avez pas rafraîchi vos compétences en art oratoire ! Heureusement, avec une bonne planification et une bonne exécution, un discours d’acceptation peut être une occasion de briller, plutôt qu’un événement qui doit être vécu. En suivant quelques règles de base pendant les étapes d’écriture et de polissage de votre processus de préparation et en connaissant à l’avance les normes de base de l’étiquette en matière d’élocution, vous pouvez rendre votre discours d’acceptation aussi indolore que possible â€" amusant, même !
Commencez votre discours en vous présentant. À moins d’être certain que tout le monde dans! l’auditoire sera parfaitement conscient de votre importance, vous voudrez probablement commencer votre discours par quelques mots brefs sur vous-même pour donner à l’auditoire une idée de qui vous êtes. Pour ce faire, vous devrez probablement dresser une brève liste de votre poste, du travail important que vous avez accompli et de votre lien avec l’honneur ou la récompense que vous recevez. Faites des remarques courtes et humbles â€" votre but n’est pas de vous construire ou de vous vanter, mais de vous présenter à des gens qui ne vous connaissent pas bien. De plus, vous voudrez peut-être vous préparer à sauter certaines de vos remarques d’ouverture si la personne qui vous souhaite la bienvenue sur le podium vous fait une longue introduction.
Gérer votre anxiété avec des techniques de lutte contre le stress. Lorsque vous attendez votre tour pour parler sur le podium, le calme et la détente seront probablement la dernière chose à laquelle vo! us penserez. Cependant, savoir comment calmer vos nerfs à lâ€! ™avance peut rendre un discours autrement stressant une brise relative. Vous trouverez ci-dessous quelques techniques brevetées pour vous aider à minimiser les problèmes causés par un cas de nervosité pendant votre discours :
N’oubliez pas de remercier tous ceux qui vous ont aidé à réussir. C’est un must absolu pour les discours d’acceptation â€" quelque part dans votre discours, vous devez remercier les personnes qui vous ont aidé à réussir, même si, à votre avis, leur aide n’était pas si essentielle. Oublier de remercier gracieusement les personnes qui ont contribué à votre réussite peut potentiellement vous blesser et vous mettre dans l’embarras. Ceci est facilement évité en consacrant une partie de votre discours à remercier personnellement autant de personnes que possible qui ont travaillé avec vous ou vous ont soutenu (de préférence vers le début ou la fin de votre discours afin que vous vous en souveniez bien).
Connaissez! votre public. Tout comme les auteurs talentueux, les bons rédacteurs de discours savent adapter le contenu de leur discours aux besoins de leur auditoire. Les occasions sérieuses ou officielles avec des invités importants nécessiteront des discours tout aussi formels, tandis que les affaires plus légères peuvent exiger un ton moins sérieux. En cas de doute, privilégiez la formalité â€" il est généralement moins embarrassant de prononcer un discours formel lors d’un événement occasionnel que l’inverse.
Corrigez les erreurs techniques. Si vous utilisez une copie écrite de votre discours ou d’un résumé pour vous garder sur la bonne voie, assurez-vous d’éditer cette aide pour sa précision factuelle et pour les conventions appropriées de grammaire, d’orthographe et d’écoulement de phrases. L’un des endroits les plus gênants où vous pouvez découvrir une erreur dans votre discours est sur le podium lorsque vous le prononcez, alors évite! z cette situation embarrassante en relisant attentivement votre premiè! re ébauche au moins une ou deux fois avant votre discours.
Sachez ce qu’il faut éviter. Même les personnes qui n’ont pas de tics ou de névroses développent parfois des comportements répétitifs étranges lorsqu’elles sont mises sous pression en public. Le meilleur remède pour presque tous les types de tic est de se détendre avec les techniques énumérées ci-dessus. Cependant, si vous faites une liste mentale des tics les plus courants, vous pourrez les attraper si vous les remarquez apparaître pendant que vous prononcez votre discours. Vous trouverez ci-dessous quelques-uns des problèmes les plus courants que vous voudrez probablement éviter :
Énoncez un objectif clair et défini dès le début de votre discours. Tous les discours doivent avoir un but ou un  » point  » â€" sinon, pourquoi se donnerait-on la peine d’écouter ? Après vous être présenté, ne perdez pas de temps à passer à la « viande » de votre discours. Essayez! de dire à l’auditoire pourquoi il devrait écouter et ce que vous espérez qu’il retiendra de votre discours assez tôt pour lui donner une orientation et le préparer à ce que vous avez à dire.
Ne prévoyez pas de « l’improviser ». Pour tout événement d’allocution publique, la planification et la préparation sont essentielles. Même si le discours que l’on vous a demandé de prononcer ne dure qu’une minute, préparer et organiser vos pensées à l’avance peut faire la différence entre une réponse tiède et une réponse chaude. Consacrez toujours du temps à développer votre discours avant de monter sur le podium. Ne vous fiez pas à votre charisme naturel ou à votre capacité de penser sur vos pieds â€" une fois que vous regardez les dizaines ou les centaines de visages qui vous attendent dans l’auditoire, vous constaterez peut-être que votre capacité d’être charmant et profond vous vient moins naturellement que vous le pensiez.
Cherchez l’inspiration chez les grands. Si vous avez de la diffic! ulté à écrire votre discours, songez à vous tourner vers des discours d’acceptation célèbres pour trouver des idées sur la façon de procéder (et sur la façon de le faire). L’histoire moderne regorge d’exemples de grands (et terribles) discours d’acceptation qui peuvent servir d’inspiration. En voici quelques exemples notables :
Gardez les choses simples. Contrairement au texte écrit, le discours oral ne peut pas être « relu » â€" une fois que vous avez dit quelque chose, il a été dit et votre discours continue, que votre auditoire l’ait compris ou non. Pour minimiser les risques de malentendus et garder l’attention de votre auditoire tout au long de votre discours, gardez vos mots simples. Utilisez un langage clair et concret. Ne faites pas vos phrases (ou tout le discours) plus longtemps qu’il ne le faut pour communiquer les points que vous essayez de faire passer. Les gens sont beaucoup plus susceptibles d’avoir une impression fav! orable d’un discours court, simple et puissant que d’un discours long, compliqué et sinueux.
Terminez par une conclusion concise et puissante. La fin d’un discours est l’une des parties les plus difficiles à parfaire, mais c’est aussi l’une des plus importantes car c’est la partie dont tout le monde se souviendra le plus facilement. Essayez de donner à votre fin un sérieux coup de fouet émotionnel ou un appel vibrant à l’action â€" vous cherchez à sortir avec un bang, pas un gémissement. Essayez d’utiliser des mots et des images qui ont une forte résonance émotionnelle. Pour votre dernière phrase, essayez de terminer par une observation pleine d’esprit ou une déclaration de vérité puissante.
Pratique, pratique, pratique, pratique. Tout comme l’écriture, le chant ou le théâtre, la parole est une forme d’art. Plus tu le fais, mieux tu deviens. Bien qu’il soit impossible de reproduire l’expérience de se tenir devant son! auditoire et de prononcer son discours pour de bon avant d’avoir à ! le faire, pratiquer seul ou devant un auditoire plus restreint peut vous aider à mémoriser les principaux points de votre discours et à acquérir suffisamment d’expérience pour le prononcer pour vous le faire connaître. De plus, la pratique peut aussi vous aider à cerner les problèmes à l’avance. Par exemple, s’il y a une partie de votre discours à laquelle votre auditoire ne réagit pas aussi bien que vous le pensiez, vous pouvez prendre cela comme un signe qu’il devrait être supprimé ou édité avant le discours réel.
Expliquez en quoi l’honneur que vous recevez a une signification personnelle. Alors que vous remerciez et conseillez l’auditoire, essayez d’expliquer à quel point l’honneur que vous recevez est important pour vous. Par exemple, vous voudrez peut-être mentionner que l’honneur est important pour vous parce que c’est un signe que vous avez gagné le respect des gens qui sont les plus importants dans votre vie. Cela prouve! votre sincérité et donne au public une appréciation de l’honneur qui vous est fait. Il ne s’agit pas seulement d’un trophée ou d’une plaque â€" son importance symbolique va au-delà .
Essayez d’avoir au moins l’essentiel de votre discours mémorisé. Pour les longs discours, il peut être impraticable, voire impossible, de mémoriser chaque mot de votre discours. Toutefois, même dans les cas où il est virtuellement nécessaire d’avoir un résumé ou une copie du discours à portée de la main, vous voudrez quand même avoir tous les principaux points que vous avez l’intention d’aborder dans votre discours prêts dans votre tête avant de commencer à parler. Assurez-vous de connaître les principaux points de votre discours, l’ordre dans lequel ils sont présentés et les transitions ou exemples clés que vous utilisez.
Gardez l’humour court et digne. L’humour a sa place dans certains discours d’acceptation. Une remarque pleine dâ! €™esprit est un excellent moyen de briser la glace au début d’un dis! cours et quelques blagues peuvent aider à retenir l’attention de l’auditoire. Cependant, gardez la quantité (et le type) d’humour que vous utilisez sous contrôle. Ne comptez pas trop sur les plaisanteries constantes et n’incluez pas les blagues obscènes, offensantes ou controversées. À moins d’être un animateur professionnel, votre auditoire s’attend probablement à un discours agréable et digne, plutôt qu’à une tirade torride et pleine de blagues, alors donnez-lui ce qu’il veut.
Faites votre propre discours. Les discours médiocres, c’est du dix sous à la douzaine. Rendez votre discours mémorable en le rendant quelque chose que vous seul pouvez prononcer. Faites de votre discours un produit de votre propre personnalité â€" donnez à votre auditoire l’occasion non seulement de se souvenir du discours lui-même, mais aussi de la personne qui le prononce. Une façon facile d’y parvenir est d’inclure dans votre discours des anecdotes ! personnelles brèves et mémorables qui sont pertinentes à l’honneur que vous recevez ou aux thèmes que vous abordez dans votre discours. N’oubliez pas de faire preuve de retenue â€" rappelez-vous que les discours courts et simples sont une bénédiction pour la plupart des gens dans l’auditoire.
Parlez lentement et clairement. Comme nous l’avons vu plus haut, l’un des problèmes les plus courants des orateurs inexpérimentés est qu’ils peuvent avoir tendance à se précipiter ou à marmonner involontairement dans leur discours. La façon dont vous parlez lorsque vous prononcez un discours ne devrait pas être la même que celle dont vous parlez à vos proches dans un cadre décontracté â€" vous voulez parler plus lentement, plus clairement et un peu plus fort que vous le feriez normalement. Cela ne signifie pas nécessairement que vous devez vous attarder sur chaque mot et faire de longues pauses entre vos phrases, mais simplement que vous devez faire! un effort pour vous assurer que même les personnes malentendantes de ! l’auditoire peuvent vous comprendre.
Rappelez-vous que tout le monde dans la salle est un être humain. Pour quelqu’un qui est nerveux à l’idée de prononcer un discours, l’auditoire peut sembler être une grande entité effrayante et imposante qui doit être confrontée et apaisée. En fait, le public est tout sauf cela â€" il est en fait composé de nombreuses personnes différentes, qui ont toutes leurs propres motivations et préoccupations internes (tout comme vous !) Certaines personnes dans le public peuvent penser à leurs propres problèmes ou simplement rêver pendant que vous faites votre discours. D’autres peuvent être pratiquement (ou littéralement) endormis. Certains ne sont peut-être même pas assez intelligents pour comprendre votre discours ! D’un autre côté, certains peuvent trouver votre discours intéressant ou important. Cependant, rares sont ceux qui le trouveront aussi important que vous, alors n’ayez pas peur de votre public! ! Considérez votre public comme un groupe de personnes réelles et imparfaites, plutôt que comme une foule monolithique et sans visage, c’est un moyen sûr de vous détendre plus facilement.
Regardez-moi dans les yeux. Lorsque vous prononcez un discours d’acceptation, vous vous adressez à l’auditoire, de sorte que vous voudrez regarder l’auditoire pendant la majeure partie de votre discours tout comme vous regarderiez la personne à qui vous vous adressez si vous ne parliez qu’à une personne. Il n’y a pas de mal à jeter un coup d’Å"il rapide aux notes ou au résumé que vous avez sur vous pour garder votre discours sur la bonne voie. Essayez de limiter cela à de courts coups d’Å"il ne dépassant pas quelques secondes ou si longtemps. Le reste du temps, gardez la tête haute et parlez directement à l’auditoire devant vous.
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